Il était une fois Marcel Dzama

Marcel Dzama a peut-être (très certainement) un problème avec la physiologie des femmes. Allez voir son exposition au Musée d’art contemporain de Montréal (jusqu’au 25 avril) et vous verrez. Peut-être pas tout de suite, ou automatiquement, mais après 5-6 œuvres vous verrez ce que je veux dire. Les personnages féminins ont trop souvent, pour ne pas le mentionner, quelques choses de surréaliste qui leur sort d’entre les jambes, ou bien des parties de corps qui manque, ou des parties de corps en trop. À un tel point que je me suis sentie comme une freak en sortant de là. There, I said it. Maintenant, l’exposition vaut la peine d’être vue. Regarder ses dessins les uns après les autres est comme lire un conte pour adulte et je suis restée bouche bée devant ses dioramas et certaines de ces sculptures. Il y aussi deux films qui sont quand même amusants (présentés end DVD), dont un qui met en scène les personnages de ses dessins joués par du monde déguisés. Les costumes sont réussis mais le film un peut trop long (20 min). Quelqu’un m’a dit ; on voit vraiment l’influence de Guy Maddin dans ses films. Une autre m’a dit ; un vrai Maddin rip-off.


V’là l’printemps, v’là l’joli vent,
Crystal Doré

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