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je crois que comme
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commissaire d’exposition notre travail a
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un lien avec notre passé personnel et
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dans mon cas étant l’enfant de parents
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haïtiens qui dans les années 60 ont
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déménagé à valence et à haïr donc la
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république fédérale du congo où je suis
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né et ensuite je suis arrivé à montréal
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quand j’avais deux ans et demi et
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d’avoir passé mon enfance à montréal
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d’avoir grandi à montréal et puis
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d’arriver à l’âge adulte où soudainement
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les gens à 2 par la couleur de ma peau
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commence à me poser la question d’où
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venez vous quand pour moi je viens du
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québec de montréal
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donc ces questions là sont devenus
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vraiment une des questions qui me
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préoccupe mais qui m’intéresse aussi
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parce qu’avec les changements
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sociopolitiques que le monde a vécu
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depuis disons les 20 dernières années
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je me rends compte que je suis pas tout
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seul dans ce cas là et qu’on est il ya
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beaucoup de personnes qui viennent de
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beaucoup de continents différents et qui
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se posent les mêmes questions et qui
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doivent gérer tous les jours cette
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question d’appartenance d’identité et je
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trouve que c’est pour moi c’est celle de
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la vie aussi et xsara sarre en amont la
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présence citoyenne où la présence dans
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le travail artistique encore beaucoup
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plus riche de réfléchir à ces questions
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par le biais du travail des artistes qui
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se pose ces questions là
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je pense que le partir le parcours
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six parcours jonché de hasard donc dans
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mon cas j’ai étudié l’histoire de l’art
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et la gestion des arts à paris et
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ensuite je revenu au québec
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et après c’est la nécessité de trouver
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une plateforme un emploi ce qui m’a
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amené à lennoxville où j’ai travaillé
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pendant 8 ans et une fois étant à
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lennoxville je pense que c’est la nature
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de l’institution qui doit aussi qui va
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avoir un impact sur le type de
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programmation qu’on va faire parce que
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programmé à lennoxville dans un cadre
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universitaire et aussi par rapport à la
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taille de l’université de la ville c’est
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une chose différente que de programmer à
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joliette ou programme à montréal ou même
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à toronto
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donc je pense que pour moi c’est
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important de comprendre dans quel
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contexte
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on est surtout quand on dirige une
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institution publique donc on a on à ce
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devoir de comprendre le contexte dans
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lequel on est ensuite de travailler de
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réfléchir aux artistes de la région aux
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autres artistes qu’on veut faire
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intervenir et de voir comment tout ça en
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robe et aussi par l’occ et les sujets
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qui nous intéressent
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personnellement comment tout ça doit
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avoir une certaine cohésion pour pouvoir
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apporter quelque chose au public
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donc il ya une part qui est ou qui
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représente mes intérêts personnels mais
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en même temps on doit défendre une
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institution il faut penser à
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l’institution dans son contexte
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moi je pense que le critique
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rôle social à jouer dans le fait que
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beaucoup de gens ont de la difficulté à
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comprendre les oeuvres d’art à
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comprendre les propos des artistes et je
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trouve que cette mise en contexte est
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extrêmement importante et qu’elle peut
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être sur une multiplicité de formes
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poète peut écrire sur la peinture d’une
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manière totalement éloquente qui à
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travers ses mots va faire vivre la
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naissance de travail du peintre a de la
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même façon que quelqu’un qui sait pas
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qui se spécialise en psychiatrie ou en
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philosophie peut écrire sur le travail
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particulier d’un artiste qui va qui va
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justement se préoccuper par un sujet qui
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a un lien avec ces thèmes là ce qui veut
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dire que surtout en art contemporain la
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capacité que les critiques et les
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auteurs ont d’apporter à la réflexion de
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l’artiste puisqu’on travaille sur un
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sujet contemporain qui a souvent à
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différents angles de vue moi je trouve
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que c’est là que ça rend le travail très
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riche et aussi cette multiplicité de
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voix qui est pas simplement basé sur les
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d auteur ou des critiques qui vont qui
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vont parler que dans le langage de
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l’histoire de l’art ou de l’art
5:05
contemporain va je pense élargir la
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réflexion sur le travail de l’artiste
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pas toujours je pense qu’il ya des il ya
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des oeuvres
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je pense que par exemple par rapport à
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l’art conceptuel souvent les gens
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pensent que puisque c’est minimaliste et
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conceptuel que ça doit une bouée
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abstrait mais je pense que c’est le rôle
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aussi des commissaires de soulever les
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sujets parce que souvent surtout dans
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les années 60-70 l’art conceptuel était
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complètement relié à la politique et à
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cette volonté d’exclure l’objet l’objet
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matériel delà de la ram mais ça le
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public en général le comprends pas
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nécessairement donc et je pense qu’on
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peut être politique sans avoir une
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oeuvre qui est didactique et qui crie je
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suis politique juste socialement engagé
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et je pense aussi que à l’art je perds
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la différence entre un documentaire et
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une vidéo d’art ou à je sais pas moi une
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photo de photojournalisme et une photo
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en oeuvre d’art c’est qu’on doit
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transcender le médium est transcendé le
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message donc je pense que tout ne doit
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pas être politique parce qu’on peut
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aussi avoir ya des artistes qui qui
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s’intéressent à la forme par l’élégance
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du geste ou la beauté de la couleur ça
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peut être basé avec avoir un regard sur
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ceux politiques mais pas nécessairement
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et donc je pense que aussi les artistes
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il ya autant d’artistes et autant de
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pratiques que ya d’humain et donc on
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doit avoir une diversité une
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multiplicité d’accent
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être commissaire c’est chaud
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vire donc il a le pouvoir de pouvoir
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d’indiquer qu’il trouve cette oeuvre
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importante mais je pense que ce pouvoir
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ou cette valeur ajoutée est visible
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qu’un petit groupe
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donc ça veut dire les autres
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commissaires les autres artistes les
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critiques d’art les galleries les gens
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qui vont vouloir voir une valeur ajoutée
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dans ce travail là mais pour le commun
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des mortels public lambda le travail du
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commissaire il ne le voit pas et pour
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marc pour ma part je pense que ça de moi
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je vois mon travail cup
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quelqu’un qui va amener les gens à voir
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le travail des artistes
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alors si on oublie ou si on ne connaît
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pas du tout pour moi c’est ça me ça me
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porte pas du tout ouvrage
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et c’est là où la publication le
8:00
catalogue va permettre d’inscrire
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l’action du critique d’art ou du
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commissaire dans la le legs de la
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pratique artistique de l’artiste
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mais quant à moi tout ce que je fais
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c’est m créer des opportunités pour que
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les gens voient le travail des artistes
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puisque moi je le vois déjà mais comment
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l’amener à un public plus large
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dans l’optique de créer ce moment 2
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je sais pas de révélation qui va être
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très personnelle entre la personne qui
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va voir une oeuvre et qui va sans dire
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que cette oeuvre leur parle
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personnellement à différents niveaux
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je pense que vraiment
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c’est toujours surtout dans les expos
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solo c’est toujours une conversation un
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échange entre l’artiste et le
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commissaire à ce qui veut dire que le
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commissaire la première oeuvre qu’il
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fait c’est de pouvoir proposer à
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l’artiste de venir faire cette expo
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mais ensuite il faut que l’artiste ait
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envie de travailler avec ce commissaire
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et donc pour que cet échange là se
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mettre en place
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je pense aussi que la confiance est
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essentielle pour que chacun soit à
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l’écouté de l’autre
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des fois c’est le commissaire qui va le
9:23
commissaire ne peut en tout cas pour les
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cantons train avec des artistes vivants
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c’est très difficile de dictée sans que
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l’autre soit prêt à accepter la position
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d’une oeuvre le parcours d’une
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exposition dont il ya constamment une un
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rapport qui doit qui doit être mis de
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l’avant et mais c’est sûr que quand on
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parle d’une expo de groupe où on va
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choisir les oeuvres différent de
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différents artistes là disons que la
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notion de sphère heures et peut-être
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beaucoup plus évidente à
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parce que à ce moment là c’est le
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commissaire qui fait le choix de mettre
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un x grecque
10:03
l’une à côté de l’autre créer un
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parcours donc entre les deux ont fait
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oeuvre mais une est peut-être plus
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visible que l’autre à mais encore là
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c’est ça dépend de qui regarde parce que
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le public en général il va se dire oui
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j’aime bien cet homme j’aime bien cet
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autre là mais il va pas nécessairement
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savoir où comprendre nous mêmes se poser
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la question d’être critique par rapport
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au choix du commissaire et moi je dis
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toujours que quand un spectateur vient
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voir une exposition la personne qui
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portent le plus lourd fardeau d’après
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moi c’est l’artiste parce que les gens
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vont dire j’aime tel artiste ou j’aime
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pas de l’artiste
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il va pas dire j’aime quelques misères
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ou pas tel comme ça parce qu’il n’a
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aucune notion de ça donc au bout du
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compte c’est toujours l’artiste qui fait
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oeuvre à part ce que le travail du
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commissaire c’est de supporter le
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travail des artistes
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mais encore là dans certains lieux ça va
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être le travail du commissaire qui va
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faire preuve et qui va être qui va être
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le vecteur qui va porter le travail de
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l’artiste
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équilibre où cette équité ne doit pas
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dicter tout mais doit être quelque chose
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auquel on pense surtout quand on dirige
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une institution publique donc de se
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donner des hommes comme pour ma part le
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père lequel un mandat national et
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international donc ça ça devient quelque
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chose auquel je dois me préoccuper
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ensuite je dois penser homme-femme
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autres ensuite à expo solo individuel
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peintures sculptures vidéos
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installations je pense qu’on se doit de
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regarder une programmation et de faire
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le point certains moments et désherbants
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est ce qu’on a fait beaucoup beaucoup de
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vidéos donc est-ce qu’on est il serait
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peut-être temps de regarder la peinture
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voir qu’est-ce qui se développe en
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peinture et comment on peut en parler
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dans un contexte différent et à ce
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moment là
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à l’intérieur c’est toujours dans une
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institution publique je pense qu’on a ce
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devoir de réfléchir à ces questions là
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pour pouvoir amener encore une
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programmation diversifiée parce que je
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crois que en tout cas pour ma part
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l’intérêt c’est que si un spectateur
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vient voir une expo qui n’aime pas il a
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le droit de pas l’aimer mais j’espère
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qu’il reviendra voir la prochaine
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exposition qui peut être va susciter un
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intérêt pour qui est toujours cette idée
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de revenir constamment et de
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passablement venir voir une exposition
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mais deux fréquenté l’institution pour
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parce que je pense que quand on parle de
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film ou de littérature il faut lire
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beaucoup de livres pour savoir qu’on
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aime tel type de littérature donc la
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même façon d’en voir des expositions où
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le travail d’artistes contemporains il
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faut avoir beaucoup pour dire moi j’aime
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j’aime la plus la vidéo
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il ya de la musique où j’aime mieux les
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vidéos qui fait un rapport avec avec le
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théâtre où j’aime la peinture figurative
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mais malgré le fait qu’on aime la
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peinture figurative
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j’espère que le spectateur va être
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curieux pourront aussi aller voir de la
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peinture abstraite parce que nos choix
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et nos goûts évoluent aussi avec le
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temps
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il ya divers personnes qui portent leur
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regard sur des oeuvres et on sait en
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histoire de l’art qu’il ya beaucoup
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d’artistes personne n’a porté aucun
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regard 10 ans d’horreur et que plus tard
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dix ans après vingt ans après où un
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siècle après quelqu’un pour te regarde
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donc ça dépensé dans le temps aussi donc
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c’est sûr qu’une oeuvre et mise en est
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active il faut que quelqu’un qui regarde
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leurs mails ce regard-là peut être
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simplement l’artiste et après il ya
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aucun public qui le regardent ou est une
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oeuvre qui qui qui tout de suite suscite
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un intérêt mais commencer il peut avoir
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un intérêt immédiat et après tomber
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complètement dans l’oubli il ne jamais
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ne jamais revenir à l’avancé
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on le fait ici gr
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une série qu’on appelle se dessine donc
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chaque deux semaines on va inviter ça
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peut être un philosophe
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ça peut être un dramaturge ça peut être
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un poète qui va venir qui va choisir une
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oeuvre des expositions qui sont
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présentés et cette personne parle de
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l’exposition parle de l’oeuvre mais à la
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lueur de son propos personnels
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donc ça c’est des choses qu’on fait de
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manière orale qui serait vraiment bien
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qu’on trouve une façon de le faire aussi
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de manière écrite pour justement nourrir
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la réflexion et donner différents
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différentes perspectives ou aux gens qui
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s’intéressent au travail d’un artiste
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cet équilibre là est nécessaire afin de
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s’assurer que notre institution joue son
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rôle et une programmation qui sont en
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ligne directe avec son mandat donc ça
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devient aussi disons ma responsabilité
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en tant que directrice puisque j’ai la
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responsabilité de la direction
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artistique d’aussi suscité à travers mes
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commissaires d’exposition de leur dire
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bah il faudra aller voir le travail de
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tel est l artiste est de s’assurer que
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on réfléchit autant à au national et à
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l’international et que ce national
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englobe la hausse qu’on est situé à
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toronto et quillan le blog aussi le
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reste du pays et que de manière répétée
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qu’on pense aller faire de la recherche
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dans différents terrains pour montrer
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des oeuvres différentes
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j’ai pas de problème à
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à croire et c’est vraiment ce que je
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crois qu’on pourrait avoir un critique
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d’art ou un historien de l’art qui je
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sais pas dixième du japon et qui va se
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reconnaître dans le travail d’un artiste
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de montréal et qui va comprendre le
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propos de cet artiste là malgré le fait
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qu’ils sont à des kilomètres et des
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kilomètres et je trouve que ça ajoute à
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la réflexion quand il ya un monde
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extérieur qui vient et c’est pour ça
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aussi qu’avec la globalisation et et 7,7
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pouces et de l’avant que tout le monde
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est à l’international c’est bien d’avoir
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des gens différents endroits qu’ils
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réfléchissent et qu’ils aient qui se
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rend compte au mieux à mon dieu on est à
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deux pôles différents et on pense la
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même chose ou ou vos propos ont une
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résonance par rapport à mon travail ou à
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ma réflexion mais malgré le fait qu’on
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soit jamais rencontré
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moi je pense que quand je travaille très
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proche
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artiste c’est indéniable qu’à la fin du
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parcours il ya une certaine amitié qui
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est développé par ce que une exposition
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j’ai toujours l’impression que c’est la
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mise à nu de l’artiste et donc la
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plupart des artistes avec lesquels j’ai
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travaillé sur des projets conséquents
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il ya toujours ce lien d’amitié qui qui
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se développe il faut faire attention
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parce qu’il faut garder une certaine
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distance pour pouvoir dire non pouvoir
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dire oui mais je trouve que c’est
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vraiment moi je trouve que c’est un lien
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de communication de partenariat des
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changes et donc je ne peux pas
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travailler avec des artistes que j’aime
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pas sont pas gentils ou d’un salaire
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tout à fait anodin mais si si j’aime pas
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souvent ça devient très difficile pour
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moi et donc à ce moment là et là je
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parle de moi personnellement ça veut pas
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dire que il peut avoir un artiste avec
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lequel je m’entends pas moi même mais je
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peux le passé je peux dire un autre de
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mes conservateurs ou quoi de bon vous
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allez faire ce projet là et moi je
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m’applique pas à ce niveau là mais là
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quand je dis les propos que j’aime faire
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c’est pour moi personnellement gaëtane
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verna tous les artistes avec qui j’ai
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travaillé il ya toujours eu il ya un
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respect ya il ya aussi je me sens
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toujours chanceuse qu’ils acceptent de
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travailler avec moi je ne vois pas de la
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perspective que c’est moi qui qui qui
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dirige tous et il accepte d’entrer en
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communication avec moi et c’est pour ça
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que je trouve que c’est ce côté
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personnel et ce rapport humain parce que
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à travers ce travail là on se parle de
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nos vies nos parents toutes les
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influences qui qui qui sombre qui sont
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qui s’insère dans le travail de
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l’artiste sont mises à nu donc voilà
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