Petite, je me rappelle avoir entendu que l’une des chose les plus difficile à faire faire à un robot est de marcher comme un humain. En effet, la maîtrise de la marche bipédique fut longtemps une préoccupation et un défit pour les ingénieur de robots. Je me rappelle aussi que ceci m’avait paru tout-à-fait surprenant et m’avait du coup, pour la première fois, fait voir et comprendre d’un point de vue purement mécanique la merveille du corps humain.
Donc, aujourd’hui, on parle de robots…
Les robots sont en fait des machines accomplissant automatiquement des tâches, dans un but d’efficacité supérieure, pouvant êtres considérées comme dangereuses, difficiles, ennuyantes, répétitives ou impossibles pour les humains. Le robot est piloté et il lui faut un humain pour fonctionner. Aussi, techniquement parlant, le toaster est plus robot qu’un jet.
Contrairement aux machines intelligentes, les robots font du travail physique et pas de tâches purement intellectuelles. Le terme robot, qui vient du tchèque, veut dire travailleur ou esclave.
De nos jours les robots savent marcher (à deux ou plus de jambes) et savent monter des marches, tourner en marchant et éviter des obstacles. En ce moment, ce qui intéresse les faiseurs de robots (utilitaires, et non “de compagnie”) est déveloper le sens d’adaption de ces machines, ou leur capacité à apprendre, si l’on veut. Dans le domanie de la médecine, ce qui occupe présentement est le dévelopement des nanorobots. Donc des robots aux dimensions microscopiques, fabriqués par des nano outils dans un nano laboratoire, cabables de fonctionner seuls ou en groupe. On parle ici de nano dimension, donc de robots pouvant voyager à bord d’une cellule, ou qui, placés au bon endroit dans le cerveau pourrait lire les pensées d’un sujet ou encore le/la manipuler à distance.
Sorte de robots
À + et dites bonjour à votre maman pour moi,
Crystal Doré